Nous allons donc essayer de faire cela le plus vite possible, avant que la véssie de mon gentil toutou explose.
Je trouve toujours assez étrange cette manie de parler comme si "nous" étions plusieurs. Cela nous donnerait-il l'air plus légitime ?
Bref, je voulais juste passer pour dire que le visonnage d'hier soir de
Pigalle, la nuit...
...fut certainement bien plus interressant que celui de
Braquo il y a quelques semaines. Ici, il semble y avoir un scénario. (Mon Dieu, je crois que je vais me faire taper). Je vais donc démentir mes propos, je voulais en réalité dire, que dans cette nouvelle série Made In Canal, il y avait un scénario censé.
Aïe, ça fait mal ! Regardez et vous verrez les enfants ! Ici, bien que l'affaire de disparition soit plus que stéréotypée, elle éveille pourtant beaucoup de questionnements. Surtout dans le deuxième épisode, la fin m'a véritablement mit la puce à l'oreille. Zainoun serait-il dangereux ? Ah - Ha. Les personnages s'avèrent aussi assez interressants. Complexes aux multiples facettes, et que fait ce noir assis au bar qui a des visions ?! De plus, je trouve que dans cette série (et là je ne juge pas Braquo parce que c'était aussi le cas dedans), les acteurs sont vraiment là pour renforcer le pitch. Palme d'or au personnage de Zainoun, particulièrement beau et contradictoire. Comme disait ma chère mère hier, "là au moins, on a envie de voir la suite !".
Cependant, il est vrai que j'ai une préférence nette pour les histoires psychologiquement tarabiscotées (oui enfin c'est tout de même
Damages - J moins deux mois -). Et puis après sept ans de bons et loyaux services à
Without A Trace (FBI : Portés Disparus), les disparitions, je commence à connaître, cela devient tout même quelque peu lassant.
Un bilan donc bon mais en Wait And See. Deuxième épisode beaucoup mieux que le premier. Espérons qu'ils continuent de s'améliorer.
L'annecdote marrante de fin de journée : Je passe au kioske pour acheter mes magazines de Séries. Je cite
SériesTV, citant Olivier Marchal parlant de
Braquo : "Or, je pense que les gens sont saturés de trop de violence. Et quand elle est suffisamment dosée comme elle l'est dans Braquo, je pense que les gens l'acceptent davantage."
Quote of the year !
Sérieusement !? C'est justement ce que j'ai reproché à toute la série ! La violence pour la violence. Dans
Saw (saucisse, ha ha ha) c'est du gore pour du gore. Dans
Braquo, c'était de la violence pour la violence (ah oui, pardon j'oubliais, il y avait en fait un plot -délais des 10 minutes épuisé - la mort du chef doit être vengée, sa réputation doit être lavée. Pourquoi ? Il est mort non ? Il s'en fout ! Calmez vous ! Arrêtez de buter tout le monde).
J'avais peur que
Pigalle se contente de sexe pour le sexe. Hier soir, on m'a prouvé que c'était tout l'inverse !
Rendez-vous donc la semaine prochaine pour une review un peu plus élaborée.
C'est tout pour le moment.
Votre fidèle voix.