vendredi 8 janvier 2010

Brenda Leigh Johnson.

Les jours de retard s'accumulent dans le postage des messages et j'en suis sincèrement navrée. Quand je pense que les épisodes ont étés visionnés il y a deux jours et que je n'update que maintenant... Des fois il m'arrive même d'avoir honte.

Bref, j'ai aujourd'hui finit par visionner les trois derniers épisodes de la saison 5 de la meilleure série du câble américain : The Closer.

Je sais que la série n'est pas très regardée mais si jamais vous, là, derrière votre écran, vous êtes finalement aussi fans de Brenda que moi, n'hésitez surtout pas à commenter. J'apprécierai.

Je ne suis pas dupe, je sais que certaines mauvaises langues n’auront aucun scrupules à dire que notre Brenda internationale est lourde, redondante, éternellement confrontée aux mêmes dilemmes (Fritz or her career) et use continuellement des même charmes pour nous plaire. Cependant, quelque part, c'est précisément ce qui me rend admirative. Cette capacité à être intelligente, drôle et fan de chocolat en même temps. A être femme et flic sans chercher à faire prévaloir l'un ou l'autre. En effet, je me suis toujours demandée pourquoi toutes les femmes de la police télévisuelle cherchent à faire d'elles-mêmes ce qu'elles ne sont pas. Pourquoi Samantha Spade est-elle obligée de jouer les caïds avec son flingue pour faire oublier que oui, elle aussi, a une peur bleue des araignées mais est pourtant capable de marcher avec des talons de quinze centimètres de haut ? Brenda Leigh Johnson, elle, porte des jupes roses et ne cherche absolument à cacher son lovely accent sudiste. Et on en profite.

Ce que j'aime aussi chez Brenda c'est qu'elle est la SEULE chef d'unité de la télévision qui ne couvre pas FORCEMENT ses hommes quand ils font une connerie. Ca c’est probablement aussi un pouvoir typicalement féminin. En effet, finalement, combien de deputy chief girly y a-t-il à la télévision internationale ? Merde, où était passée la non-violence hippy jusqu'à maintenant ?

Enfin, tout ça pour dire que pour moi, les trois derniers épisodes représentaient véritablement tout ce que j'aime dans cette série. Il est vrai, que cette dernière repose justement peut être légèrement trop sur Kyra Sedgwick mais peu importe, c'est une actrice si magistrale qu'on en oublie presque tous ses défauts. De plus, j'ai trouvé plutôt pas mal le fait que le show s'attache un peu plus au personnage de Provenza durant cette cinquième saison. Je me dis qu’au bout d'un moment, tout le monde trouvera peut être son heure de gloire.

En ce qui concerne les trois derniers casefiles, ils étaient inventifs, bien menés et formidablement bien orchestrés pour le 5x13 The Life et le 5x15 Dead Man's Hand ; légèrement moins bien pour le 5x14 Make Over (que j'ai eu tous les maux du monde à trouver en streaming d'ailleurs) mais rien de très grave.

Sinon concrètement, côté Brenda, fin de saison en apothéose pour celle qui reste tout de même mon modèle de réussite télévisuelle. Elle a l'Homme (Fritzie ♥), le job formidable et elle parvient toujours à obtenir tout ce qu'elle veut sans violence. En cette fin de saison, Fritz était fâché, turns out qu'il a refusé une promotion géniale pour elle. On remarquera que chaque fin de saison de saison de la série à tendance à être plutôt riche en déballage de quatre vérités entre nos deux tourtereaux. Je tiens aussi à dire que le "I didn't tell you because if I asked you to choose between me and your career, I wouldn't be sure which one you'd pick" a sonné horriblement vrai à mes oreilles. Le mariage n'était-il pas censé leur apporter la stabilité ? Après, je tiens à dire que pour moi, le fait qu'elle le choisisse lui, tout de suite après son so-called ultimatum n'a rien d'une preuve. Si elle avait répondu au téléphone, il aurait probablement divorcé xD ! Elle n’aurait pas pu se le permettre.

Cependant, malgré tout, cette petite dispute n'avait rien à voir avec la MAGISTRALE scène du season 3 finale qui est gravée dans ma mémoire de sériephile à tout jamais. Finalement, je crois que j’aime tellement cette scène que je pourrais continuer de la regarder over and over pendant des heures. Regardez, juste pour le plaisir (scène suivie des réconciliations, je n'ai pas réussit trouvé la scène seule) :



Affreux, n'est-ce pas ? HEureusement qu'ils se sont réconciliés. Cette scène m'avait brisé le coeur.

Le fait de la revionner m'a rappelée la question philosophique de Choupinou (prof de philo) vendredi : La fin justifie-t-elle le moyens ? Mon modèle de vie semble penser que oui car il est vrai que, oui, le seul défaut de Brenda est sa tendance constante à mentir à son entourage. Pourtant, je continue à ne pas condamner ses actions. Peut être suis-je aussi une menteuse, qui sait ?

C'est tout pour le moment.

Votre fidèle voix.

jeudi 7 janvier 2010

Nouveau look ! What do you think about it ?

Regardé hier soir ?

Camus. Pas mal. Téléfilm typique mais vraiment pas mal, n'est-ce pas ?

mercredi 6 janvier 2010

Ma nouvelle obsession ...

Alors que nous venons de nous taper la honte en cours aujourd'hui avec I., étant les deux seules à vouloir aller à Sciences Po', je suis prête à vous dévoiler ma nouvelle date clé : le 25 Janvier.

Pourquoi ? Le début de la saison 3 de Damages. Ellen et Patty nous avaient laissées dans une situation certes mon cliffhangeresque cette en 2009 qu'en 2008 mais l'impatience n'est pas moins présente. A l'aube de cette prochaine vague d'épisodes je ne peux donc que compter les jours. Le 26 Janvier à 6h30, direction L*mew*re, et que ça saute !



Sinon, je me suis depuis deux jours reprise de passion pour Gregory House puisque complètement par le manque de nouveaux épisodes sur TF1 (qui suck de plus en plus si je peux me permettre) j'ai commencé la saison 5 à grand renfort de rires et de larmes.


5x01 : Dying Changes Everything + 5x02 : Not Cancer


Ca faisait quelques semaines maintenant que j'entendais parler de la baisse de niveau générale de la série et j'étais donc un peu anxieuse lorsque j'ai lancé le season premiere sur megavideo. De plus, la mort d'Amber m'avait réélement TRAUMATISEE ainsi que la rupture du couple House/Wilson qui a pour moi été un véritable coup de couteau dans le coeur.

Cela dit, venons en au fait.

Les deux premiers épisodes ne m'ont finalement pas déçue. Des histoires plutôt bien ficelées (même si, à en croire VDM, n'importe quel médecin peut résoudre ces cas) et des personnages complexes toujours au rendez-vous. Cependant, un petit détail me turlupine pour l'instant : cela fait deux épisodes que House donne envie de pleurer, il est triste d'avoir perdu son ami, nous aussi sont faux-malheur perpétuel s'est transformé en vrai-malheur momentané et bien qu'il reste toujours le House cynique et manipulateur que l'on connait il nous fait tout de même légèrement (beaucoup) de peine, n'est-ce pas ? En réalité la question que je me pose concerne en réalité l'avenir de la série : House va-t-il arrêter de nous faire rire ? Parce que pour moi, deux éclats de rire en deux épisodes, ce n'est pas une très bonne moyenne, vu la série qui se dit comique. Et pourtant, c'est ce qu'il s'est passé.



Je remarquerais enfin deux détails spécifiques aux deux premiers épisodes qui m'ont interpellée. D'une part, j'ai trouvé le traitement de Treize (son nom ? Je ne sais plus...) et de sa maladie un peu faiblar dans le 5x01 et 5x02, j'espère que cela s'améliorera dans les jours à venir. D'autre part, je tiens tout même à magnifester mon adoration naissante devant le detective privé. Bien que secondaire, je trouve que son personnage enrichit énormément la série. Particulièrement par rapport à House. Il nous aide à nous rendre compte que tous les principes du pauvre homme sont en train de partir en fumée : il pensait avoir un coeur de pierre, il se rend finalement compte qu'il avait grand besoin de Wilson à ses côtés; il avait l'habitude d'affirmer sans peur "everybody lies" et constate qu'il existe un homme qui ne sait pas mentir. A dévolopper.

C'est tout pour le moment.

Votre fidèle voix.

lundi 4 janvier 2010

L'argent ou le faux cuir ?

Aujourd'hui, filmographie 2009 remise à zéro pour 2010. J'ai décidé de mettre tous les films que je voyais, pas juste ceux du cinéma.

Bref, pas vraiment envie de parler de ma journée de cours -ville - bus - cours - babysitting je vais donc vous parler pour une fois de ce qui fut on my screen yesterday night.


Review : Un Long Dimanche De Fiancailles


Je me demande toujours pourquoi Jeunet tourne des films en jaune. Ca doit être sa couleur préférée. En suivant ce raisonnement, je devrais tourner des films en vert. Apétissant.

Sinon le film était pas mal mais décevant. On me l'avait souvent vanté, drôle et touchant, très réaliste sur les horreurs des tranchées ... Hier soir à la fin du film j'ai juste eu envie de dire "mouais". Ni oui, ni non, un mélange de flottement hasardeux qui ne laissera franchement pas un souvenir impérissable.

De plus, quelques bribes de l'histoire m'ont paru inutiles. Par exemple la scène où on voit le personnage d'Audrey Tautou courrir à travers chaps pour arriver au tournant avant la voiture de son compagnon disparu. A quoi bon ? Quelle avancée cela permet-il de faire dans l'intrigue ? Mystère et boule de gomme.

Enfin, j'ai trouvé la fin un peu ... Etrange. Il finit vivant et amnésique, très bien, mais je n'ai pas trop compris l'intérêt, puisque l'Homme quelle retrouve n'est plus du tout le même que celui quelle a quitté. Leur histoire est donc vouée à l'échec, c'est triste.

Cependant, je tiens à relever tout de même l'intérêt porté à la psychologie du personnage principal, qui fait remonter largement le film dans mon estime. Audrey Tautou est belle, intriguante, intelligente, atypique et attachante et rien que pour cela, le film mérite d'être vu.

C'est tout pour le moment.

Votre fidèle voix.

P.S : Pour vos 18 ans et si vous êtes une fille, de vos amies vous préféreriez un sac Minelli ou un bijoux en argent ? Sur ce coup là je suis seule contre 4 avec mon bracelet.

dimanche 3 janvier 2010

New Year's Eve








Mieux vaut montrer les photos d'avant que d'après pour une fois.